Hauts plateaux de Huehuetenango
Guatemala
Port d’exportation : Santo Tomas de Castillo
Géographie :
Malgré sa petite taille, 108 890 Km², le Guatemala s’étend de l’Atlantique au Pacifique
et est doté d’un relief varié où l’on retrouve de hautes chaînes de montagnes, de hauts
plateaux, des volcans et des plaines tropicales.
Le café est cultivé principalement dans le sud du pays, aux abords des montagnes de
la Sierra Madre et de Couchoumantanes, la terre minéralisée par les nombreux volcans,
offre des conditions idéales et un terrain extrêmement fertile.
Histoire :
Le café fut introduit au Guatemala vers 1750 par les membres de la compagnie de Jésus,
en provenance de Cuba. Il était principalement utilisé comme plante ornementale.
Ce n’est qu’entre 1845 et 1854 que le café fut reconnu comme une culture capable
de combattre la pauvreté et ensuite développée pour être mise en pratique par de
nombreux agriculteurs. Les résultats ne se laissèrent pas attendre et la réussite fut totale,
à tel point qu’en 1866, de grands territoires du pays, abandonnés jusqu’alors, furent
consacrés à cette culture. En 1871, le gouvernement libéral créa une législation qui
facilita l’acquisition de terres en friche et de terrains appartenant aux communes ou aux
corporations religieuses afin de promouvoir la propriété privée et l’agriculture commerciale.
En 1949 apparaissent les premières coopératives, en 1950 est promulgué un décret
prévoyant une très modeste réforme agraire ; à partir de là, le pays commencera une
production croissante aux mains de petits agriculteurs paysans.
Au Guatemala, la culture du café est devenue une alternative intéressante aux cultures
dites de subsistance comme le maïs, la fève noire et parfois les légumes, et qui assure
aux producteurs un marché rémunérateur qui constitue une des rares options d’accès à
l’indépendance économique, à la prospérité et au progrès. La récolte manuelle du café
assure un salaire bien plus élevé que celui payé normalement, c’est pourquoi des familles
entières quittent leurs régions défavorisées pour entreprendre durant plusieurs mois le long
travail que représentent la récolte et le traitement des graines
Guatemala
Port d’exportation : Santo Tomas de Castillo
Géographie :
Malgré sa petite taille, 108 890 Km², le Guatemala s’étend de l’Atlantique au Pacifique
et est doté d’un relief varié où l’on retrouve de hautes chaînes de montagnes, de hauts
plateaux, des volcans et des plaines tropicales.
Le café est cultivé principalement dans le sud du pays, aux abords des montagnes de
la Sierra Madre et de Couchoumantanes, la terre minéralisée par les nombreux volcans,
offre des conditions idéales et un terrain extrêmement fertile.
Histoire :
Le café fut introduit au Guatemala vers 1750 par les membres de la compagnie de Jésus,
en provenance de Cuba. Il était principalement utilisé comme plante ornementale.
Ce n’est qu’entre 1845 et 1854 que le café fut reconnu comme une culture capable
de combattre la pauvreté et ensuite développée pour être mise en pratique par de
nombreux agriculteurs. Les résultats ne se laissèrent pas attendre et la réussite fut totale,
à tel point qu’en 1866, de grands territoires du pays, abandonnés jusqu’alors, furent
consacrés à cette culture. En 1871, le gouvernement libéral créa une législation qui
facilita l’acquisition de terres en friche et de terrains appartenant aux communes ou aux
corporations religieuses afin de promouvoir la propriété privée et l’agriculture commerciale.
En 1949 apparaissent les premières coopératives, en 1950 est promulgué un décret
prévoyant une très modeste réforme agraire ; à partir de là, le pays commencera une
production croissante aux mains de petits agriculteurs paysans.
Au Guatemala, la culture du café est devenue une alternative intéressante aux cultures
dites de subsistance comme le maïs, la fève noire et parfois les légumes, et qui assure
aux producteurs un marché rémunérateur qui constitue une des rares options d’accès à
l’indépendance économique, à la prospérité et au progrès. La récolte manuelle du café
assure un salaire bien plus élevé que celui payé normalement, c’est pourquoi des familles
entières quittent leurs régions défavorisées pour entreprendre durant plusieurs mois le long
travail que représentent la récolte et le traitement des graines